Larguer les amarres

Avez-vous l’impression que vous n’arrivez pas à déployer tout votre potentiel ? Qu’à certains moments vous n’arrivez pas à dire ce que vous aimeriez exprimer ou faire ce dont vous avez envie ? Quelle représentation de vous-même avez-vous ? Comment est votre confiance en vous ?

 

Enfant, nous nous adaptons constamment à notre environnement ou à aux situations que nous vivons. Ces modes d’adaptation sont utiles pour nous protéger de situations difficiles et grandir au mieux. A l’âge adulte, ces mécanismes de défense peuvent se cristalliser, se figer, et ne plus être adaptés à la situation d’aujourd’hui. Lorsqu’ils sont à l’œuvre la personne peut se sentir inhibée ou vivre des situations de blocage. Par exemple, il est certainement plus raisonnable de serrer ses poings d’énervement, plutôt que de sortir son agressivité contre son chef; par contre se retenir de façon répétitive à aller lui parler pour lui exprimer un désaccord, peut devenir difficile à supporter.

Ces mécanismes à l’œuvre sont de plusieurs formes :

Je me mets en confluence avec mon environnement, et répond aux besoins des autres plutôt qu’aux miens, au point de ne plus les reconnaître. Il n’y a alors plus de différence entre moi et mon environnement, la frontière entre l’autre et moi devient floue.

⇒ L’introjection est le mécanisme d’avaler tout rond sans «mâcher » ce qui provient de l’environnement, des idées, des principes (les ‘introjets’) qui vont distordre la perception des vrais besoins. Ces introjets sont gardés en soi comme des corps étrangers non digérés.

Pendant toute notre enfance, nous entendons nos parents et les adultes nous répéter : « Ne pleure pas », « Tu n’as pas mal », « Tu dois être fort », « Tu dois rendre service », « Tais-toi » ou « Ne fais pas de bruit » etc… Autant d’injonctions qui construisent au fur et à mesure, nos croyances et une fois adulte, altère notre confiance en soi et notre estime de soi.

La projection est le mécanisme d’attribuer à l’autre ce qui nous appartient. Par exemple, celui qui est impatient, reprochera à l’autre de ne pas savoir attendre (c’est une façon de se défendre en attribuant à autrui ses propres défauts, du moins ce qu’il considère en lui être des défauts et n’accepte pas). C’est un flux venant de soi, envoyé vers l’autre, pour lui reprocher ce qu’on ne veut pas voir et supporter en soi.

La rétroflexion consiste à retourner en soi ce que nous ne pouvons pas manifester à l’extérieur (c’est une forme de refoulement). C’est un flux qui reste contenu en soi.  La rétroflexion peut être source de somatisations. Par exemple se sentir en colère contre soi alors que la colère est plutôt destinée à autrui.

La déflexion consiste à exprimer ce qui serait destiné à quelqu’un, non pas à lui, mais à un autre ou dans une autre direction, là où cela comporte moins de risques (c’est classiquement ce qu’on nommerait un déplacement). C’est un flux venant de soi, mais dirigé vers une autre cible que celle à laquelle il est normalement destiné.

 


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à la rencontre de soi.

Notre premier stage “Larguer les amarres” marque le début de notre voyage, nous nous préparons à jeter l’ancre pour une première aventure.

Nous vous proposons lors de ce stage “Larguer les amarres”, d’identifier les blocages, les empêchements, les croyances limitantes, les introjets, vos projections sur vous-même et sur les autres, … Toutes ces résistances nous figent dans le mouvement. S’alléger et se libérer de celles-ci cristallisées pour augmenter son estime de soi et sa confiance en soi.

 


Laissez-vous transporter dans le plus beau des voyages qui soit…

Comme une chasse au trésor, pour rencontrer le précieux en vous.